Pour ajouter l’article à vos favoris identifiez-vous.
Après sa première vidéo consacrée au bien-être de ses vaches, Antoine Thibault, alias Agriskippy, revient sur Youtube pour expliquer son choix de devenir éleveur. Avec ses multiples facettes, pour lui, c'est bien le plus beau métier du monde.
Après le succès de sa première vidéo, visionnée plus de 37 000 fois sur Youtube, Antoine Thibault, alias Agriskippy, éleveur laitier en Normandie, revient. Cette fois-ci, il explique pourquoi il est devenu éleveur.
Après avoir passé son enfance dans la ferme familiale, il a décidé de s'y installer pour être son propre patron. Etre proche de la nature, trouver le meilleur compromis sur les cultures pour viser une alimentation de qualité pour ses animaux, autant d'enjeux qui le passionnent.
« Dans mon métier, on est tour à tour, agronome, infirmier, pilote d'engin, comptable, manager. Cette transversalité, c'est passionnant ! » conclut-il. Pas de doute, pour lui, c'est bien « le plus beau métier du monde ».
Votre email professionnel est utilisé par les sociétés du groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters
et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici.
Consultez notre politique de confidentialité
pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits.
Notre service client est à votre disposition par mail : serviceclients@ngpa.fr.
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Biométhane ou électrique, les alternatives au GNR à l’épreuve du terrain
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026