Le prix allemand continue de descendre. En avril, il s’élevait à 440,98 €/1 000 l en 38-32, avec un recul de 28,74 € selon le ZMB. Il perd de nouveau 17,5 € en mai pour pointer à 423,48 €. Depuis le début de l’année, il a baissé de près de 132,85 €. Côté français, le prix du lait résiste mieux grâce à l’effet à retardement des PGC France. Selon FranceAgriMer, il s’affiche à 433,90 € en mai en moyenne France, soit -8 €/1 000 l par rapport à avril. Parti à 469,30 € en janvier, il atterrit pour l’instant à 433,90 € (-35,40 €)… Et accentue l’écart en sa faveur. Il est supérieur au prix allemand de 10,42 € contre à peine 1 € en avril.
En juin, au nord de l’Allemagne, les prix semblent se stabiliser : en moyenne -5 €/1 000 l selon les premières indications pour une tendance à 372 € (mais 343 € pour la grosse coopérative DMK). Dans le Sud, le décrochage se poursuit. Il était de l’ordre de -37 €. Cette baisse est reconduite en juin.
Votre email professionnel est utilisé par les sociétés du groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters
et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici.
Consultez notre politique de confidentialité
pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits.
Notre service client est à votre disposition par mail : serviceclients@ngpa.fr.
Il intègre 5 % de pommes de terre dans son silo de maïs ensilage
Fermeture de l’export de bovins : « les acheteurs vont en profiter pour faire baisser les prix »
Tendances saisonnières : l’hiver 2025-2026 sera-t-il pluvieux ou sec ?
Récolte 2025 : « une situation particulièrement alarmante » pour les producteurs de maïs grain
Y a-t-il vraiment un plafond de verre pour le prix de la viande bovine ?
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine
Logettes ou aire paillée ? Comment sont logées les vaches laitières françaises
Après la Prim’Holstein, la Génétique Haute Performance débarque en Normande
Avant même la ratification, les importations de viande du Mercosur bondissent
Avec 1 % de marge nette, l’industrie laitière française « fragilisée »