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Responsable du marché de l'agriculture au Crédit mutuel de Bretagne, Karim Ganai estime entre 15 et 20 % la baisse des investissements en production laitière sur les six premiers mois de l’année. Une baisse « significative » qui résulte directement de la conjoncture difficile et du trop faible prix du lait.
L’actuel prix du lait ne permet pas de défendre convenablement un projet devant sa banque. « Nous regardons la moyenne mobile du prix du lait des trois dernières années pour évaluer la capacité à investir », assure le banquier.
« La meilleur façon de défendre un dossier d’investissement en production laitière, c’est de présenter à son conseiller bancaire sa stratégie d’élevage. Les investissements ont-ils pour but d’optimiser le temps de travail, ou d’améliorer la rentabilité de la ferme ? Dans le contexte actuel, nous privilégions les investissements les plus prégnants par rapport à la stratégie de l’exploitation . »
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