Ce virus de type H5 a été détecté lors de tests conduits dans le cadre du repeuplement de cette exploitation située à Meilhan (Landes), autour de laquelle une « zone réglementée » d'un kilomètre a été mise en place afin de pouvoir éventuellement restreindre les mouvements de volailles.
« Aucun signe clinique d'infection n'avait été mise en évidence dans cet élevage », a souligné la préfecture. « Aucun élément ne permet à ce stade de rapprocher ce virus de celui qui avait déjà été mis en évidence en décembre 2017 dans un élevage à Saint-Jean-de-Lier », a-t-elle précisé.
Quelque 1 400 canards avaient été abattus fin décembre dans cet élevage, situé à 20 km de Meilhan où a été découvert ce nouveau cas de grippe aviaire.
Un virus faiblement pathogène (type H5N3) avait déjà été identifié début décembre dans un élevage de 12 000 canards du Lot-et-Garonne, à Monbahus, entraînant des mesures de quarantaine. Mais les palmipèdes n'avaient finalement pas dû être abattus et pourront être commercialisés normalement.
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