Cette avance « représente 20 % de l'indemnisation au titre de la perte de marge brute par animal non produit en raison de l'obligation de dépeuplement et de vide sanitaire », détaille le communiqué du ministère. « Les éleveurs qui ont déjà touché une première avance correspondant à 50 % de l’indemnisation totale percevront automatiquement ce complément, sans aucune démarche. Les éleveurs qui n'avaient pas déposé de demande de première avance ou qui n'ont pas été éligibles peuvent déposer une demande pour cette seconde avance, avant le 15 novembre. » Sont concernés les éleveurs situés dans la zone de restriction qui avait été mise en place dans le Sud ouest et qui ont subi des pertes de revenus en lien avec la gestion de l'épizootie de grippe aviaire.
D'un montant total de 13 millions d'euros, le versement devrait intervenir d'ici à la fin du mois de novembre.
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Quelle évolution du prix des terres en Bretagne en 2024 ?
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026