Le contentieux date de novembre, à la suite de l’envoi d’un courrier par l’administration à 4 670 agriculteurs des Hauts-de-France leur intimant de ressemer les prairies permanentes retournées depuis deux ans, soit 3 000 ha. La raison : selon les services de l’État, la région avait retourné plus de 5 % de ces surfaces en 2016. À l’aune des éléments apportés par la FRSEA concernant les incohérences du calcul, le ministère a ramené le chiffre à 4,1 %. La région conserve ainsi le régime de demande d’autorisation préalable au retournement de prairies.
Les prairies retournées en 2016 ne seront pas ressemées
Article réservé aux abonnés.
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
Le marché du lait Spot s’agite avec la rentrée
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?
L’Iddri suggère de briser « l’ambivalence » des chambres d’agriculture en matière de transition agroécologique