Pour connaître vos obligations, vous devez vous référer aux statuts de la coopérative. En principe, ils prévoient que chaque associé coopérateur s’engage, en cas de mutation de son exploitation en propriété ou en jouissance, à transférer ses parts au nouvel exploitant qui lui sera substitué dans ses droits et ses obligations vis-à-vis de la coopérative. Vous êtes tenu d’avertir le conseil d’administration du transfert. Si les parts ont été transférées, il vous revenait de les négocier dans le cadre de la cession de votre exploitation. Si votre successeur avait refusé de reprendre les parts sociales (ce qui ne semble pas être le cas), vous auriez dû démissionner en respectant le formalisme exigé (lettre recommandée avec accusé de réception), en expliquant vos raisons et demander à ce moment-là le remboursement de vos parts.
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
FCO : le Grand Ouest en première ligne
Le biogaz liquéfié, une solution pour les unités de cogénération dans l’impasse
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?
L’Iddri suggère de briser « l’ambivalence » des chambres d’agriculture en matière de transition agroécologique
L’agriculture biologique, marginalisée d’ici 2040 ?
Matériel, charges, prix... Dix agriculteurs parlent machinisme sans tabou