Dans le cadre du déploiement de la Protection universelle maladie (Puma) en 2016, en remplacement de la CMU de base, une cotisation subsidiaire maladie est désormais demandée, en plus de l’Amexa. Elle est due par les assurés ayant de faibles revenus ou aucun et qui disposent de revenus du capital suffisants. Sont concernés les agriculteurs dont les revenus d’activités de l’année 2016 sont inférieurs à 3 862 euros (10 % du Pass(1)) et dont les revenus du capital sont supérieurs à 9 654 euros (25 % du Pass). Le taux est de 8 % après un abattement de 25 % du Pass. Bien qu’affiliée à la MSA, cette cotisation est recouvrée par l’Urssaf.
(1) Plafond annuel de la Sécurité sociale.
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
FCO : le Grand Ouest en première ligne
Le biogaz liquéfié, une solution pour les unités de cogénération dans l’impasse
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?
L’Iddri suggère de briser « l’ambivalence » des chambres d’agriculture en matière de transition agroécologique
L’agriculture biologique, marginalisée d’ici 2040 ?
Matériel, charges, prix... Dix agriculteurs parlent machinisme sans tabou