Patrick Le Provost, directeur deGDS Bretagne
Qu’ils soient d’Ille-et-Vilaine ou du Finistère, les attentes des éleveurs sont similaires : ils souhaitent protéger leur élevage et l’assainir en cas de problème. Il n’y a donc pas de raison que le service apporté ne soit pas le même. Les quatre GDS bretons se sont retrouvés sur cette analyse. Il y avait certes des méthodes différentes mais ce n’est que de la forme. L’important est de partager les fondamentaux. Nous avons aussi pris notre temps. La phase d’harmonisation a duré cinq ans, avant la fusion début 2015. J’invite les organismes à réfléchir à leurs points communs. Ils pourront ensuite travailler à gommer leurs différences. Le sujet risque d’être vite d’actualité pour les GDS puisque les pouvoirs publics vont demander aux organismes à vocation sanitaire de se constituer en grande région, sur la base des nouvelles régions administratives.
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