Pourquoi les GDS bretons ont-ils fusionné il y a déjà deux ans tandis que vos collègues restent départementaux ?

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Patrick Le Provost, directeur deGDS Bretagne

Qu’ils soient d’Ille-et-Vilaine ou du Finistère, les attentes des éleveurs sont similaires : ils souhaitent protéger leur élevage et l’assainir en cas de problème. Il n’y a donc pas de raison que le service apporté ne soit pas le même. Les quatre GDS bretons se sont retrouvés sur cette analyse. Il y avait certes des méthodes différentes mais ce n’est que de la forme. L’important est de partager les fondamentaux. Nous avons aussi pris notre temps. La phase d’harmonisation a duré cinq ans, avant la fusion début 2015. J’invite les organismes à réfléchir à leurs points communs. Ils pourront ensuite travailler à gommer leurs différences. Le sujet risque d’être vite d’actualité pour les GDS puisque les pouvoirs publics vont demander aux organismes à vocation sanitaire de se constituer en grande région, sur la base des nouvelles régions administratives. 

Claire Hue
Aperçu des marchés
Vaches, charolaises, U= France 7,1 €/kg net +0,05
Vaches, charolaises, R= France 6,94 €/kg net +0,02
Maïs Rendu Bordeaux Bordeaux 190 €/t =
Colza rendu Rouen Rouen 465 €/t +3

Météo
journée technique sur la tuberculose bovine

La tuberculose bovine fait frémir les éleveurs bas-normands

Maladies
Thomas Pitrel dans sa prairie de ray-grass

« La prairie multi-espèce a étouffé le ray-grass sauvage »

Herbe

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