Dans les faits, les cinq libertés de l’animal servent de fil rouge à l’élaboration de la stratégie des exploitations depuis des années.
Ne pas souffrir de la faim ou de la soif : accès à de l’eau fraîche et à une nourriture assurant la bonne santé et la vigueur des animaux.
Ne pas souffrir d’inconfort : environnement approprié comportant des abris et une aire de repos confortable.
Ne pas souffrir de douleurs, de blessures ou de maladies : prévention ou diagnostic rapide et traitement.
Pouvoir exprimer les comportements naturels propres à l’espèce : espace suffisant, environnement approprié aux besoins des animaux et contact avec des congénères.
Ne pas éprouver de peur ou de détresse : conditions d’élevage et pratiques n’induisant pas de souffrances psychologiques.
Définition de six indicateurs d’évaluation
Pour évaluer le bien-être des bovins, six indicateurs ont été définis (voir tableau page suivante). Le nombre de réformes et les analyses des cellules dans le lait sont des critères analysés en routine. L’état d’engraissement, le confort, la propreté des vaches et le comportement du troupeau sont des éléments observés par les conseillers d’élevage. Il est également possible d’installer une caméra ponctuellement dans le bâtiment.
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Le marché du lait Spot s’agite avec la rentrée
FCO : le Grand Ouest en première ligne
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?
L’Iddri suggère de briser « l’ambivalence » des chambres d’agriculture en matière de transition agroécologique