Certains envisagent parfois de substituer de l’urée à l’azote du correcteur, afin de concentrer encore plus la ration et maintenir des niveaux de lait objectifs sans surconsommation. Cependant, les prix de l’urée explosent, sa disponibilité diminue, et la technicité requise est importante. Une surdistribution peut en effet engendrer des troubles. Ici, à 1 500 €/t d’urée, par rapport à une ration A, le surcoût est de 3 €/1 000 l. Il atteint même 10 €/1 000 l par rapport à la ration B. Le surcoût peut être limité à 2 €/1 000 l si les concentrés utilisés sont des matières premières (cf. hypothèse de la ration B).
C. Urée : incorporation dans la ration
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