Épisode 3.Un agriculteur peut gérer lui-même un recrutement ou faire appel à une aide extérieure. Un investissement important et de long terme.
Le recrutement est l’ensemble des actions mises en œuvre pour trouver la personne correspondant à un poste donné pour une entreprise donnée. Il passe par quatre étapes principales :
l’identification des besoins : description des missions et identification des compétences souhaitées ;
la rédaction et la diffusion d’une annonce pour trouver les bons candidats ;
l’évaluation des candidats : l’entretien d’embauche ;
l’intégration : une étape qui ne doit pas être oubliée car, sans une bonne intégration, le recrutement peut être à recommencer.
Véritable enjeu, un bon recrutement relève rarement du hasard ou de la chance. En cas d’échec, les conséquences ont de fait un impact majeur.
Embaucher un salarié a un coût pour l’exploitation qui ne se résume pas seulement à son salaire. Il faut également inclure :
le temps passé par le recruteur ;
la période d’intégration du salarié ;
la diffusion des annonces, etc.
Bon à savoir : le Syntec (Syndicat du conseil en recrutement) évalue les coûts invisibles en cas d’erreur de casting jusqu’à 54 000 € pour l’entreprise !
- Altération de l’image de l’entreprise.
- Dégradation de la qualité de services.
- Impact humain pour les collaborateurs restants, ainsi que pour la personne recrutée qui a parfois quitté un emploi, etc.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?