Une fois n’est pas coutume, il y avait à l’expo Umotest, cette année à Besançon, un lot de seize vaches, la plupart en 3e lactation ou plus. Les 50 ans de la création de l’Union montbéliarde de testage valaient bien cela. L’idée mériterait même d’être renouvelée, car présenter des lots de filles par taureau a largement perdu de son intérêt technique à court terme, pour une utilisation par les éleveurs. Et surtout, la finalité de la sélection est d’avoir des vaches solides qui encaissent des lactations grâce notamment à leurs qualités de mamelles ou de membres. Ce n’est pas juste d’avoir des primipares ou des 2e veau tape-à-l’œil.
Les 50 ans d’Umotest sous le signe de la longévité
Article réservé aux abonnés.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?