Pour ajouter l’article à vos favoris identifiez-vous.
Face aux prix des engrais, avez-vous changé de stratégie pour la fertilisation des prairies ? Pour Antoine, éleveur normand, ce n'est surtout pas une bonne idée : il faut au contraire maximiser le potentiel des fourrages pour limiter les achats d'aliments ensuite.
Le prix des engrais vous a-t-il fait revoir votre copie quant à la fertilisation azotée des prairies ? Dans l'Eure, Antoine Thibault n'a rien changé (ou presque). Dans une nouvelle vidéo postée sur sa chaîne Youtube, il explique : « Le risque serait d'avoir des fourrages moins riches en énergie et en protéines, et vu le coût tout aussi élevé des concentrés, mieux vaut ne pas faire l'impasse. »
Cliquez sur l'image pour lancer la vidéo
« En ne fertilisant pas mes prairies, j'économiserais environ 2 000 €. Par contre, cela m'obligerait à acheter plus de 5 000 € d'aliment, ce n'est pas anodin. » Pour autant, l'éleveur va tout de même réduire l'apport prévu car « le lisier épandu à l'automne et en sortie d'hiver est totalement disponible car il n'a pas plu beaucoup. Il y a eu moins de pertes. »
Mes bases de calcul :
50 u économisées sur 20 ha ~ 1800e de gagnés
4 points de MAT en moins ~ 3000 e de tourteaux en plus 0,1 UFL en moins ~ 3000 e de concentrés énergétiques en plus
Votre email professionnel est utilisé par les sociétés du groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters
et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici.
Consultez notre politique de confidentialité
pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits.
Notre service client est à votre disposition par mail : serviceclients@ngpa.fr.
Une concession perd la carte Fendt, une armada de tracteurs part aux enchères
Des tracteurs canadiens à la conquête de la France et de l’Europe
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Simon Huet : « Je gagne plus d'argent à être autonome qu'à être en bio »
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
« Je vends mes broutards 20 à 25 centimes plus chers grâce aux marchés aux bestiaux »
Reprendre le contrôle sur les troupeaux à haut niveau cellulaire