Toute la gamme de récolte des fourrages (andaineurs à tapis, remorques autochargeuses et enrubanneuses) du constructeur installé au Québec est concernée.
Jeulin, fabricant français de machines d’élevage qui a fêté en 2023 ses 70 ans, démarre sa nouvelle décennie par un partenariat avec Anderson, constructeur canadien implanté au Québec et spécialisé dans la récolte des fourrages.
Jeulin devient l’importateur et revendeur exclusif d’Anderson en France, et propose, dès maintenant, les andaineurs à tapis, les remorques autochargeuses à balles rondes et les enrubanneuses en continu qui ont fait la réputation du fabricant nord-américain.
Le SAV et l’achat de pièces détachées pris en charge
Jeulin avait déjà étoffé son catalogue en 2017 en intégrant les produits du constructeur finlandais Ehlo, bien installé dans le domaine du matériel de fenaison (ensileuses traînées, enrubanneuses, andaineurs, faucheuses mais aussi ramasseurs de pierres).
Anderson était jusque-là représenté dans l’Hexagone par le constructeur vendéen Lucas G. Les propriétaires de machines Anderson sont désormais pris en charge par Jeulin pour toutes les questions liées au service après-vente et à l’achat de pièces détachées.
À l’avenir, Jeulin pourrait étoffer son offre Anderson, qui fabrique aussi des mélangeuses, une pailleuse et des chargeuses à bois.
Votre email professionnel est utilisé par les sociétés du groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters
et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici.
Consultez notre politique de confidentialité
pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits.
Notre service client est à votre disposition par mail : serviceclients@ngpa.fr.
Il intègre 5 % de pommes de terre dans son silo de maïs ensilage
Fermeture de l’export de bovins : « les acheteurs vont en profiter pour faire baisser les prix »
Tendances saisonnières : l’hiver 2025-2026 sera-t-il pluvieux ou sec ?
Récolte 2025 : « une situation particulièrement alarmante » pour les producteurs de maïs grain
Y a-t-il vraiment un plafond de verre pour le prix de la viande bovine ?
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine
Logettes ou aire paillée ? Comment sont logées les vaches laitières françaises
Après la Prim’Holstein, la Génétique Haute Performance débarque en Normande
Avec 1 % de marge nette, l’industrie laitière française « fragilisée »
À Versailles, les agriculteurs de la FNSEA/JA veulent interpeler Emmanuel Macron