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Dans les allées du Space, Web-agri a suivi Jean Prod’homme, formateur en pédicure bovine au centre de formation du Rheu (35). Ce spécialiste de la contention détaille quatre modèles de cages de parage afin de vous aider à choisir le mieux adapté à vos besoins.
Cliquez pour voir le reportage avec un spécialiste du parage
Prise des pieds arrières par le pâturon ou par le jarret ? Une seule ou deux sangles ventrale(s) ? Manuelle ou électrique ? Jean Prod’homme, formateur en pédicure fait le tour de différents modèles de cages de parage exposés au Space 2013 :
Socober
Marechal Pesage
Wopa / Lely
Guerletub
Une cage pour quoi faire ?
« Il est difficile et risqué de lever un pied sans cage de parage, fait remarquer Jean Prod’homme. Lever le pied permet d’adapter le traitement à la pathologie observée et le parage est à réaliser quasi-systématiquement sur un animal boiteux atteint de la maladie de Mortellaro ou de panaris.
Le parage reste une intervention relativement délicate à réaliser car il faut savoir jusqu’où on ne doit pas aller. L’investissement dans une cage peut venir en complément de l’intervention du pédicure. Pour les éleveurs qui souhaitent parer eux-mêmes leurs vaches, mieux vaut suivre une formation d’une journée ou deux pour apprendre à bien regarder sous le pied et éventuellement enlever un peu de corne », conseille Jean Prod’homme.
Pour ce formateur en pédicure, la cage « multifonctions » n’existe pas vraiment car il ne faut pas confondre contention et parage. Par ailleurs, la cage doit être placée judicieusement dans le bâtiment et il faut disposer de suffisamment d’espace de travail autour. « A défaut de s’équiper d’une cage, un système astucieux consiste à installer un cornadis en sortie de salle de traite. »
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