Nouveau manchon pour une griffe IQ plus légère

Les bénéfices de la griffe IQ sont connus : traite séparée des quatre quartiers rendant impossible le phénomène d’impact, grande capacité d’écoulement, vide stable même avec des débits élevés, activation du vide complet seulement quand le gobelet est fermé par le trayon, et donc zéro entrée d’air pendant la phase de branchement ou si le gobelet chute.

GEA peut aujourd’hui ajouter à son argumentaire les plus de son nouveau manchon. Jusqu’alors, la griffe IQ était équipée de manchons monoblocs en caoutchouc (IQ Liner) ou silicone (IQ Pro).

Vide de traite de 40-43 Kpa

Le nouveau manchon silicone IQ Pro GQ au catalogue a pour spécificité la forme de son corps conique. Il est quadrangulaire avec des bords arrondis. Cette forme très parti­culière induit, selon GEA, « une absence de pression de massage directe sur le canal du trayon et permet d’envelopper parfaitement le trayon ». Le résultat annoncé est une stimulation suffisante et un effet massage optimisé pour une traite plus efficace.

Ce nouveau manchon autorise aussi de travailler avec un niveau de vide de traite élevé (40-43 Kpa). Explication du constructeur : « Les quatre angles arrondis non connectés à la tête évitent un niveau élevé de vide dans la tête du manchon. Il n’y a donc pas d’effet négatif sur le massage (pas d’anneau de compression). Et il n’est pas non plus nécessaire d’avoir une buse d’entrée d’air pour réduire ce niveau de vide. »

Une griffe ramenée de 2,1 kg à 1,6 kg

Pouvant travailler à ce niveau de vide, la griffe IQ a pu être allégée. Les gobelets en Inox nécessaires pour leur poids avec un niveau de vide de 39 à 41 Kpa sont remplacés par un composite bien plus léger. Ainsi dotée, la griffe IQ ne pèse que 1,6 kg au lieu de 2,1 kg avec ses gobelets en Inox…

Un vrai plus en matière d’ergonomie et de prévention des troubles musculo­squelettiques. D’un diamètre de 23 mm à l’ouverture, de 20 mm pour le corps et de 51 mm de profondeur pour la chambre d’embouchure, le manchon IQ Pro GQ est adapté aux petits trayons.

Jean-Michel Vocoret