Le nouveau noyau alimentaire Cap’PMS a été développé afin d’augmenter la quantité de protéines réellement valorisée par les animaux. Il s’agit d’une association d’huiles essentielles, de soufre et de cobalt conçue pour activer les synthèses microbiennes dans le rumen. Elle intègre une gamme de correcteurs appelée « Sandi PMS » (protéines métabolisables Sanders) : d’une part, Sandi PMS Optimisation, un aliment avec un taux de MAT limité, mais dont le niveau de PMS est maintenu en vue de préserver les performances du troupeau à un coût optimisé ; d’autre part, Sandi PMS Performance, une formulation à haut niveau de PMS supplémentée en méthionine protégée pour améliorer les performances tout en minimisant le gaspillage de protéines. Ce nouveau critère PMS intègre par ailleurs le logiciel de rationnement Ideal System. Ainsi, en prenant en compte les interactions digestives dans le rumen, une valeur PMS est attribuée à l’ensemble de la ration, ce qui permet de piloter plus finement les apports en fonction des besoins des animaux.
Mieux valoriser les protéines
Article réservé aux abonnés.
« J’ai opté pour un système très simple car c’est rentable »
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
« J’ai gagné presque un mois d’IVV grâce aux colliers de détection de chaleur »
Le biogaz liquéfié, une solution pour les unités de cogénération dans l’impasse
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Pourquoi la proposition de budget de l’UE inquiète le monde agricole
Matériel, charges, prix... Dix agriculteurs parlent machinisme sans tabou
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?