Le nouveau noyau alimentaire Cap’PMS a été développé afin d’augmenter la quantité de protéines réellement valorisée par les animaux. Il s’agit d’une association d’huiles essentielles, de soufre et de cobalt conçue pour activer les synthèses microbiennes dans le rumen. Elle intègre une gamme de correcteurs appelée « Sandi PMS » (protéines métabolisables Sanders) : d’une part, Sandi PMS Optimisation, un aliment avec un taux de MAT limité, mais dont le niveau de PMS est maintenu en vue de préserver les performances du troupeau à un coût optimisé ; d’autre part, Sandi PMS Performance, une formulation à haut niveau de PMS supplémentée en méthionine protégée pour améliorer les performances tout en minimisant le gaspillage de protéines. Ce nouveau critère PMS intègre par ailleurs le logiciel de rationnement Ideal System. Ainsi, en prenant en compte les interactions digestives dans le rumen, une valeur PMS est attribuée à l’ensemble de la ration, ce qui permet de piloter plus finement les apports en fonction des besoins des animaux.
Mieux valoriser les protéines
Article réservé aux abonnés.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?