Le GNV, ou gaz naturel pour véhicule, est constitué de méthane compressé. Ce produit est différent du GPL (gaz de pétrole liquéfié) qui contient principalement du butane et du propane liquéfiés. Techniquement, le GNV peut s’utiliser dans des véhicules à essence ou diesel, moyennant des adaptations. Ce carburant est plus volumineux que ces derniers car, même comprimé à plus de 200 bars, il reste sous forme gazeuse. C’est pourquoi en raison de la taille limitée des réservoirs, l’autonomie des véhicules est souvent entre 300 à 500 km.
Le GNV produit beaucoup moins de gaz à effet de serre que l’essence ou le diesel classique et ne rejette pratiquement aucune particule fine. Avec cet atout environnemental et la production au niveau local de biométhane issu de la méthanisation, le GNV pourrait être, à l’avenir, un carburant nettement plus répandu qu’il ne l’est aujourd’hui.
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
« J’ai opté pour un système très simple car c’est rentable »
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
FCO : le Grand Ouest en première ligne
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Pourquoi la proposition de budget de l’UE inquiète le monde agricole
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Matériel, charges, prix... Dix agriculteurs parlent machinisme sans tabou
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?