Les prix bas des produits laitiers et du lait résultent d'une hausse de la production européenne et mondiale simultanément à une baisse des achats chinois et de l'embargo russe, explique la Commission européenne dans un rapport sur les perspectives de marché à 2025. Néanmoins, la demande d'autres régions du Globe s'accroît, veut rassurer Bruxelles. À plus long terme, la Chine devrait retrouver un rythme d'achats en croissance, espère-t-elle.
Les prix du lait devraient rester modérés à court terme, avant de remonter à un niveau moyen de 360 €/t. Le risque d'un déséquilibre commercial persiste néanmoins à court terme avec seulement 7,5 % de la production mondiale échangée.
Néanmoins, c'est le marché domestique qui restera le principal débouché.
E.C.
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