Le progrès technique de la semence sexée ne se traduit pas toujours en progrès économique pour l’éleveur. L’abondance des génisses que cela crée dans les élevages a d’abord un impact négatif sur leur prix de vente, déjà malmené par la crise. Refusant de brader leurs génisses, les éleveurs les gardent et c’est l’arrivée des filles qui pousse les mères à la réforme, amplifiant le coût du renouvellement.
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
FCO : le Grand Ouest en première ligne
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?
L’agriculture biologique, marginalisée d’ici 2040 ?
Pourquoi la proposition de budget de l’UE inquiète le monde agricole
Matériel, charges, prix... Dix agriculteurs parlent machinisme sans tabou