rédacteur en chef
Changer de formule est un exercice récurrent pour L’Éleveur laitier. Son seul objectif : continuer de vous satisfaire et vous accompagner. Pour cela, nous interrogeons des groupes de lecteurs qui confirment ou infirment nos choix. Il y aura donc bien une nouvelle identité pour votre revue, mais pas de rupture dans sa ligne éditoriale, comme vous nous l’avez demandé.
Nous continuerons de parler technique, de relier cette technique à l’économie. Mais aussi de parler économie de la filière et politique, sans œillères et avec le sens critique que nous autorise notre indépendance de toute structure syndicale. Cela répond au triple défi qui attend nombre d’entre vous. Défis technique et économique dans vos exploitations : pour réussir avec 100 vaches ou plus ce qu’on maîtrisait avec 60, pour atteindre des niveaux de productivité de la main-d’œuvre élevés en restant maître chez soi, pour piloter au plus fin dans ce monde volatil… Le défi est aussi décisionnel au niveau de votre environnement : pour faire les bons choix dans une filière de plus en plus complexe, en décrypter les enjeux et ne pas se tromper de combat.
Pour autant, vous nous dites aussi avoir peu de temps pour lire. Nous avons donc imaginé un rendez-vous résumant en une page et demie ce qu’il faut savoir d’essentiel. Ces pages d’actualités seront l’occasion de plus d’ouverture sur l’international. Ce sera également une nouvelle rubrique régulière avec des éleveurs français et européens qui parleront de la façon dont ils vivent cette actualité.
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
FCO : le Grand Ouest en première ligne
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
Le biogaz liquéfié, une solution pour les unités de cogénération dans l’impasse
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?
L’agriculture biologique, marginalisée d’ici 2040 ?
Pourquoi la proposition de budget de l’UE inquiète le monde agricole
Matériel, charges, prix... Dix agriculteurs parlent machinisme sans tabou