En avril, Lactalis a modifié sans préavis la prime de spécialisation qu’il verse dans l’Ouest. Elle est conditionnée par le volume et la qualité super A. De 1 €/1 000 l sous les 25 000 l, à 4 € au-delà de 60 000 l, elle passe à 0,5 € pour moins de 30 000 l et 3 € pour la dernière tranche. « À budget constant total », précise-t-il. Elle fait partie de son panier de primes dans l’Ouest, au gré des rachats d’entreprises. Hors contrat, ces dernières n’exigent donc pas de négociation avec les OP. Pas d’accord, disent les OP de l’Unell, qui souhaitent leur intégration dans les contrats-cadres. Un sujet délicat qui ralentit leur signature.
Les primes ralentissent la signature des contrats
Article réservé aux abonnés.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?