La crise du Covid-19 qui, fin mars, a fait plonger le marché Spot a révélé une faiblesse majeure de l’ULM version 2020 (380 Ml collectés). La coopérative de vente de lait a attaqué l’année avec un poids historique de laits non couverts par des contrats. D’où le coup de frein donné pour réduire la collecte sur avril et mai (lire p. 13). Cette situation inédite doit à plusieurs contrats de lait dénoncés en 2019 (Nestlé, Hutin, Granarolo) ou réduits (Renard Gillard-Sodiaal). La réduction des volumes achetés par Dongé, fabricant de brie de Meaux AOC, frappé par la crise du Covid, s’y est ajoutée. L’ULM vend aussi en Spot une partie des ingrédients laitiers sortant de son site de première transformation.
Le Covid met au jour la faiblesse de l’ULM
Article réservé aux abonnés.
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?