La crise du Covid-19 qui, fin mars, a fait plonger le marché Spot a révélé une faiblesse majeure de l’ULM version 2020 (380 Ml collectés). La coopérative de vente de lait a attaqué l’année avec un poids historique de laits non couverts par des contrats. D’où le coup de frein donné pour réduire la collecte sur avril et mai (lire p. 13). Cette situation inédite doit à plusieurs contrats de lait dénoncés en 2019 (Nestlé, Hutin, Granarolo) ou réduits (Renard Gillard-Sodiaal). La réduction des volumes achetés par Dongé, fabricant de brie de Meaux AOC, frappé par la crise du Covid, s’y est ajoutée. L’ULM vend aussi en Spot une partie des ingrédients laitiers sortant de son site de première transformation.
Le Covid met au jour la faiblesse de l’ULM
Article réservé aux abonnés.
« J’ai opté pour un système très simple car c’est rentable »
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
« J’ai gagné presque un mois d’IVV grâce aux colliers de détection de chaleur »
Le biogaz liquéfié, une solution pour les unités de cogénération dans l’impasse
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Pourquoi la proposition de budget de l’UE inquiète le monde agricole
Matériel, charges, prix... Dix agriculteurs parlent machinisme sans tabou
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?