Soulagement pour le comté après la validation par l’UE de l’interdiction du robot de traite, inscrite depuis peu dans son cahier des charges. Si le comté avait pour cela accéléré la démarche, c’est que, en l’état, ce dernier n’interdisait pas l’outil, mais juste la traite en libre-service. Cette faille, aujourd’hui corrigée, explique pourquoi un tribunal avait donné raison à un Gaec équipé de deux stalles de robot pour se conformer à la traite matin et soir de ses 40 VL. Bien que son lait fût détourné de la filière comté, sa coopérative était obligée de le payer comme lait à comté. Tant que l’interdiction n’était pas gravée dans le marbre, le risque, là, était d’en voir d’autres s’introduire dans la brèche.
Clap de fin salvateur pour l’AOP comté
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