Dans son arrêté du 6 février dernier, la cour d’appel de Lyon confirme le jugement du tribunal de Grenoble de décembre 2015. Le non-respect des quatre heures pour traire le troupeau et des huit heures entre les deux traites n’est pas un manquement assez « grave » pour suspendre l’habilitation à produire du lait reblochon AOP, telle que décidé par Certipaq, l’organisme certificateur, pour une traite robotisée. Le plan de contrôle est donc appelé à être précisé et la nature des manquements (grave, majeure et mineure) clarifiée.
Le reblochon devra préciser les manquements
Article réservé aux abonnés.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?