« À partir de mai 2019, l’exploitation entamera une conversion en agriculture biologique. Ce choix n’a pas été dicté par des considérations idéologiques, mais par le souhait de coller aux attentes des marchés et de certains consommateurs prêts à payer plus cher des fromages IGP bio. Comme pour le passage au robot en 2009, le bio entraînera des évolutions en matière d’objectif et de matériel (sarclage du maïs, herse étrille sur les céréales), mais pas de gros chamboulements dans notre système de rationnement déjà très simple (foin, regain, luzerne, maïs grain et orge). Pour conserver notre niveau de revenu, il faudra veiller à ce que le volume annuel de lait produit ne baisse pas de plus de 50 000 litres. »
« Notre conversion en bio n’entraînera pas de gros chamboulements »
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