J’arrête mon engagement dans le pôle sociétaire de Sodiaal. J’y suis depuis 2017 mais, plus largement, je suis impliqué dans la vie de la coopérative depuis huit ans. Cela m’a pris jusqu’à 25 jours par an. J’ai travaillé sur des sujets passionnants tels que la sortie des quotas ou les nouvelles exigences des consommateurs. Je me retire peu à peu (je reste dans le conseil de région) car j’ai l’impression d’en avoir fait le tour. J’ai le sentiment de ne pas pouvoir apporter plus à la coopérative que ce que j’ai fait jusqu’à présent. Il faut dire aussi que Sodiaal a le défaut de ses qualités : riche de ses membres, elle n’est pas toujours facile à bouger. Il est nécessaire de faire entendre de nouvelles voix. Bien sûr, la relation avec les collègues des autres régions va me manquer et je suis reconnaissant à Sodiaal de la formation humaine qu’elle m’a apportée. Je vais avoir plus de temps pour mener à bien d’autres projets en réflexion. Place aux jeunes ! »
« Je m’engage moins dans la vie de Sodiaal »
Article réservé aux abonnés.
« J’ai opté pour un système très simple car c’est rentable »
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
« J’ai gagné presque un mois d’IVV grâce aux colliers de détection de chaleur »
Le biogaz liquéfié, une solution pour les unités de cogénération dans l’impasse
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Pourquoi la proposition de budget de l’UE inquiète le monde agricole
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
Matériel, charges, prix... Dix agriculteurs parlent machinisme sans tabou