Alors que le contexte climatique reste instable (140 mm d’eau reçus en trois jours, dont 30 mm en une demi-heure avec des vents violents mi-juin), le coût de la sécheresse 2018 s’est établi à 43 000 € en achats de fourrages(1). Pour l’essentiel, du foin de luzerne payé 230 à 270 €/t, un prix très élevé compte tenu de la rareté des fourrages alors disponibles. Ces dépenses ont heureusement été couvertes à 63 % par notre assurance prairies, soit 27 000 € pris en charge par Groupama.
Cette assurance récolte constitue aujourd’hui un précieux filet de sécurité, qui avait déjà fonctionné en 2017, le tout pour un coût annuel d’à peine 3 000 € nets, une fois déduites les aides européennes de 6 500 € bruts. »
(1) Sur la base d’un indice de pertes calculé par satellite de 42 %.
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
FCO : le Grand Ouest en première ligne
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?
L’agriculture biologique, marginalisée d’ici 2040 ?
Pourquoi la proposition de budget de l’UE inquiète le monde agricole
Matériel, charges, prix... Dix agriculteurs parlent machinisme sans tabou