Avec le beau temps, les travaux avancent bien dans les champs pour préparer les semis de maïs. Les vaches profitent du pâturage. Elles sortent déjà tous les jours et la nuit, elles ont le choix entre la prairie et l’étable. Elles ne reçoivent plus que la moitié de la ration hivernale. La production n’a pas bougé avec la mise à l’herbe, preuve que cette ration d’hiver était bien calée. Tout cela soutient le moral. Mais ce qui m’inquiète, c’est le Brexit. On nous dit que l’impact pour nous pourrait être fort. Les industriels pourraient s’en servir pour justifier une baisse du prix du lait. Avant, c’étaient les stocks de poudre. Il y a toujours quelque chose qui empêche les prix de monter. Pour nous, éleveurs, ce n’est pas facile d’appréhender ce genre d’informations. J’espère qu’on ne va pas vers une nouvelle crise.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?