Sugar-Milk est une gamme d’aliments liquides sucrés à destination des ruminants sevrés. Ils sont incorporés à la ration des vaches laitières, taurillons, chèvres, etc. dans la mélangeuse ou directement sur la table d’alimentation. Comme tous les aliments liquides, ils se composent de sucre et d’azote et leur rôle est d’enrichir la ration en sucre sans encombrer la panse, d’améliorer l’appétence et donc l’ingestion, de stimuler le fonctionnement du rumen, mais aussi de lier les différents éléments de la ration afin d’éviter le tri. La particularité de la gamme réside dans l’origine des sucres qui la composent : ils sont issus de lait français (groupe Sodiaal) et plus précisément de lactosérum déminéralisé. Comparé à des aliments liquides classiques à base de mélasse, ils sont plus concentrés en sucre, donc en énergie. À titre d’exemple, l’aliment Sucro-Max contient 32 % de sucre pour 16 % de MAT. Selon la composition de la ration de base, il est distribué aux vaches en production à hauteur de 150 à 200 g/jour/100 kg de poids vif. Autre avantage mis en avant par le fabricant : ces aliments sont deux fois moins visqueux qu’un aliment à base de mélasse, ce qui les rend plus faciles à manipuler, surtout en hiver.
L’aliment liquide à base de lactose
Article réservé aux abonnés.
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
« J’ai opté pour un système très simple car c’est rentable »
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
FCO : le Grand Ouest en première ligne
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Pourquoi la proposition de budget de l’UE inquiète le monde agricole
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Matériel, charges, prix... Dix agriculteurs parlent machinisme sans tabou
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?