I nspiré par les modèles à suivre - ou ne pas suivre - des grands troupeaux à l’étranger, ce livre blanc 10 points clés pour maîtriser l’agrandissement de son troupeau laitier prodigue quelques conseils techniques et économiques sur la gestion des gros cheptels de vaches laitières. Mais il vous permettra surtout de vous poser les bonnes questions, de définir clairement vos objectifs, vos motivations, vos compétences, et vos facteurs limitants pour éviter de faire fausse route dans votre projet.
Au sommaire de ce livre blanc
Introduction : Vous avez dit agrandissement ?
- Rechercher des gains de productivité : s’agrandir n’a de sens que s’il y a des économies d’échelle
- Le point déterminant : l’organisation et les relations entre les personnes
- Anticiper les problèmes sanitaires : mieux prévenir, moins guérir
- Des procédures et de la rigueur pour cadrer et uniformiser les interventions sur le troupeau
- Technique : rechercher la stabilité et minimiser les risques
- Conduite en un seul ou plusieurs lots ?
- Gérer le changement d’échelle : ou comment ce qui était simple devient compliqué avec l’agrandissement
- L’organisation et le choix de la traite
- Pendant la phase d’agrandissement, prévoir le financement de la croissance du troupeau et tenir compte des pertes importantes.
- Un suivi technico-économique pour maîtriser les coûts : quels indicateurs pour réagir vite à toute dérive ?
Angus, Charolais, Blanc Bleu : quelle race préférer pour le croisement laitier ?
Économie, travail, environnement : « S’installer en lait 100 % herbe, mon triplé gagnant »
Décapitalisation : profiter de l’hémorragie pour faire naître un élevage durable ?
« Je ne m’attendais pas à ce que mes vaches puissent faire du vêlage 2 ans »
Les systèmes robot de traite redeviennent plus compétitifs que les salles de traite
L’huile de palme est à manier avec précaution
Subventions aux agroéquipements : « il faut arrêter la perfusion » juge la FNEDT
DNC : des éleveurs subissent l’abattage pendant que d’autres diffusent la maladie
Viande bovine : des prix au plus haut, mais qui pour élever les vaches demain ?
« Je vends mes broutards 20 à 25 centimes plus chers grâce aux marchés aux bestiaux »