UneNormande : « Messieurs, vous qui critiquez, avez-vous déjà vu cette méthode de travail une seule fois, chez des voisins par exemple ? Exercez-vous le métier d'éleveur ? Il ne suffit pas de se poser autant de questions, encore faut-il que ce soit les bonnes. Ne seriez-vous pas un peu jaloux de cet agriculteur, qui se facilite la vie et celle des gens qui l'entourent. Vous qui êtes si curieux, allez le rencontrer. (...) »
Oups : « Y en a qui devraient rester couchés au lieu d'écrire des commentaires comme ça. Il existe plusieurs sortes d'installation, pour chacun d'entre nous : salle de traite épi ou arrière, robot, roto. Il y en a pour tous les goûts et tous les systèmes ! »
Pascal : « Chaque système a ses avantages et inconvénients. Toutes les exploitations sont différentes. Chacun choisit les outils et machines qui lui conviennent le mieux. L'éternel problème reste, selon moi, le ratio heure de travail sur salaire prélevé. Je pense qu'on est loin de la moyenne et avec quelle qualité de vie ? »
MDR : « Quelle bande de commères ! Je trouve la démarche très intéressante : salle de traite modernisée, amortie en trois ans, et création d'un emploi. Quand on voit ce que coûte à certains la diminution du temps de traite... »
Sam : « En termes de confort, ça doit être agréable de traire ! »
Respecter la santé des trayeurs, un objectif louable
Chrislait : « Ce que vous avez installé est super, monsieur Mousset ! Je me faisais une réflexion : il ne manque plus qu'un bras robotisé pour brancher les vaches. Sinon, traire 110 VL en 2 h, chapeau ! »
Capitaine : « Ça fait plaisir de voir un éleveur qui observe ses animaux pendant la traite et qui respecte la santé du trayeur(se) pour éviter plus tard des troubles musculo-squelettiques. Par ailleurs, son analyse du pour ou contre le robot de traite est justifiée. Un exemple trop rare ! Un conseil pour les mamelles qui se vident mal : ajouter quelques grammes d'oxyde de magnésie dans la ration, le résultat est spectaculaire. De plus, ça coûte trois fois rien et le fœtus en profite aussi. Seul bémol au tableau : le maïs/soja qui ne répond plus à la demande de la société. J'invite monsieur Mousset à y réfléchir. C'est avec des exemples de ce genre que l'on peut inciter des jeunes à s'installer ou devenir salariés en élevage. Félicitation ! »
le temps de traite en fait tiquer certains
Hautot Nicolas : « Quatre heures de traite par jour, donc, dans cet élevage ? »
Titian : « C'est beaucoup trop ! (...) »
Les clichés ont la vie dure : Non, ce n'est pas toujours madame qui trait
Steph72 : « Encore un exemple où c'est encore madame qui trait. Pourquoi ne pas être à deux pour diminuer le temps d'astreinte ? Deux heures, c'est trop long. »
UneNormande : « Monsieur, ce n'est pas madame qui fait la traite mais une jeune salariée qui aime son métier et qui compte un jour avoir son propre élevage. Pour rien au monde, elle ne changerait de profession. Denis Mousset fait tout pour que le travail soit aussi agréable pour lui que pour son employée. (...) À tous ceux qui sont médisants envers cet agriculteur, je demande un peu de respect. »
Titian : Il aurait fallu interviewer la salariée. Et, de manière générale, donner davantage la parole aux femmes dans les reportages. Hier, c'était la journée de la femme, non ?
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