La majorité des éleveurs choisissent un prénom pour leurs vaches, mais à quoi ça sert ? Et comment choisir le bon ?
Faut-il choisir un prénom pour ses veaux ? Ce n’est pas obligatoire, mais la plupart des éleveurs le font. Nous avons récemment posé la question dans un sondage publié sur Web-agri du 17 au 24 décembre : « Donnez-vous un nom à vos jeunes veaux ? » Sur les 400 votants, 63 % en donnent un systématiquement, 14 % au cas par cas sur quelques animaux seulement et 23 % estiment que le numéro suffit.
Et cela n’est pas forcément fait au doigt mouillé : certains éleveurs prennent un soin tout particulier à choisir le nom de leurs animaux, notamment pour suivre une filiation. L’un d’entre eux rencontré en reportage nous expliquait par exemple qu’il suivait un thème pour chaque famille de vache. Par exemple si la mère s’appelle Tulipe, ses filles et petites-filles auront toutes une fleur en guise de prénom. D’autres utilisent des suffixes pour suivre la parenté.
Votre email professionnel est utilisé par les sociétés du groupe NGPA pour vous adresser ses newsletters
et les communications de ses partenaires commerciaux. Vous pouvez vous opposer à cette communication pour nos partenaires en cliquant ici.
Consultez notre politique de confidentialité
pour en savoir plus sur la gestion de vos données et vos droits.
Notre service client est à votre disposition par mail : serviceclients@ngpa.fr.
Les refus de dossiers de financement se multiplient dans les concessions agricoles
Un grand concessionnaire agricole met aux enchères son stock d’occasion
Viande bovine : + 8 % en rayon, contre + 34 % payés aux producteurs
Le drenchage, la solution pour réactiver le rumen
Taxe carbone : l'UE fait finalement une exception pour les engrais
Les systèmes robot de traite redeviennent plus compétitifs que les salles de traite
« Bloquer les abattages, c’est risquer la dermatose bovine dans toute la France »
« Certes tout n’est pas tout beau tout rose, mais il faut positiver ! »
Économie, travail, environnement : « S’installer en lait 100 % herbe, mon triplé gagnant »
L’huile de palme est à manier avec précaution