Pour répondre aux besoins spécifiques du veau, Obione propose deux nouveaux aliments complémentaires riches en immunoglobulines bovines (IgG), mais aussi en immunoglobulines aviaires appelées IgY, issues d’œufs, à la forte concentration en anticorps anti-E. coli. Ces deux produits apportent également de l’énergie et des protéines indispensables à la survie du nouveau-né et ils sont enrichis en prébiotiques, probiotiques, oligo-éléments et vitamines. Enfin, on note la présence d’argile qui, en augmentant le temps de contact dans le tube digestif, améliore l’assimilation des anticorps et de l’énergie.
Dans l’ordre, Colostrum J1, comme son nom l’indique, se distribue dès la naissance de l’animal. Plus riche en anticorps, il vient compenser un déficit de colostrum maternel en quantité et/ou en qualité. Idéalement, il se dilue dans le colostrum maternel, à défaut dans 1,5 litre d’eau ou de lait entier porté à 40 °C.
Colostrum J2, plus riche en énergie et en éléments de sécurité digestive (probiotiques et prébiotiques), est distribué douze heures après le premier repas, pour soutenir le métabolisme. Selon les conditions d’élevage ou par temps froid, un second apport peut être réalisé douze à vingt-quatre heures après la première distribution. Colostrum J2 peut aussi être distribué pendant la phase d’élevage, pour aider le veau à faire face à des périodes de stress (transition, diarrhées…).
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?