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Débout, de gauche à droite : Jean-Christophe Socheleau, éleveur de prim'Holsteins, Y. Cailleau, éleveur de caprins, X. Godefroy, Technicien Evolution.
Le Festi'Elevage de Chémillé (Maine-et-Loire) se tiendra les 3 et 4 septembre. 530 animaux (bovins, ovins et caprins) sont attendus. Cette année sont à l'honneur la race limousine et les caprins. Une fête de l'élevage qui aurait pu être annulée...
Comme dans beaucoup de départements, septembre est propice à la tenue de concours départementaux ou régionaux. Dans le Maine-et-Loire, Festi'Elevage est bien rodé. Cette 22ème édition verra des concours dans pas moins de 11 races bovines sans compter les caprins et ovins.
Tous les ans, 1 ou 2 races sont mises à l'honneur. Cette édition ce sera l'organisation d'un interrégional limousin et d'un régional caprin.
A l'honneur
Le concours limousin accueillera 130 animaux en provenance de 13 départements (Bretagne, Pays de Loire et Normandie + l'Indre et Loire et les Deux Sèvres). "Le zonage FCO nous a enlevé quelques élevages qui ne souhaitaient pas vacciner" souligne Claude Cesbron, président des éleveurs limousins.
En caprins, 75 chèvres de Pays de Loire concourront en races Alpine et Saanen.
Contraintes supplementaires
Si le contexte économique n'a pas empêché donc les éleveurs de s'engager dans ces différents concours, c'est le contexte géo-politique qui aurait pu gâcher la fête. "En effet, avec les mesures prises depuis les derniers attentats, nous avons dû clore l'ensemble de la manifestation (qui englobe aussi une foire avec les artisans et commerçants) et engager un service de sécurité avec contrôles aux entrées" nous explique Benoît Cesbron, le nouveau président de Festi'Elevage.
Alors que depuis l'origine, la manifestation est libre d'accès et complètement ouverte, "là, les mesures exigées nous auraient contraint à annuler la manifestation si le coût n'avait pas été pris en charge par la Commune nouvelle".
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