La maladie, déjà repérée depuis le 11 septembre dans plusieurs foyers dans le centre de la France (en Allier, Creuse et Puy-de-Dôme), a aussi été « mise en évidence » en Corse, indique un arrêté.
Cette région faisait l'objet d'une surveillance particulière depuis l'apparition d'une trentaine de foyers en septembre 2013 et des campagnes de vaccination obligatoire , avec possibles dérogations, avaient été lancées dans les élevages bovins, caprins et ovins.
La fièvre catarrhale ovine , véhiculée par un moucheron, n'est pas transmissible à l'homme. Elle attaque les ruminants (ovins, bovins, caprins) sans affecter la qualité sanitaire de la viande, mais les pertes directes qu'elle cause aux troupeaux (mortalité, lourdes séquelles chez les animaux survivants) associées aux restrictions en matière de commercialisation, pèsent lourdement sur les éleveurs.
En France métropolitaine, les cas révélés depuis le début du mois ont entraîné la mise en place de vastes zones faisant l'objet de mesures de préventions spécifiques, notamment le confinement des troupeaux au cœur du périmètre touché.
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