« Le laboratoire de santé animale de Maison Alfort qui dépend de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a confirmé en début de semaine dernière que les bovins étaient infectés », a indiqué à l'Afp la préfecture des Pyrénées-Atlantiques.
« Dans l'un des élevages, toutes les bêtes vont être abattues. Les deux autres éleveurs ont sollicité une dérogation à l'abattage total », a-t-on ajouté sans préciser si la dérogation avait été acceptée. Les éleveurs ont un mois minimum pour organiser les opérations, en raison notamment de l'expertise du troupeau à réaliser avant l'abattage. Ils recevront ensuite un dédommagement de la part de l'État, la valeur des animaux sera évaluée par des experts à partir d'un barème national. Ils percevront également une indemnité liée aux frais engendrés pour le renouvellement du cheptel.
Cet épisode n'est pas exceptionnel dans le département des Pyrénées-Atlantiques qui compte 6.000 élevages bovins, le Pays basque avait eu à en pâtir en 2010 et en 2014 et le Béarn connaît une situation endémique. La préfecture a souligné qu'il n'existe pas de risque pour la santé humaine.
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