 L'annonce du démarrage des récoltes en Ukraine et dans le sud de la Russie, d'ici à une dizaine de jours, rajoute également de la pression sur les prix du blé. (© Terre-net Média) |
Les
premières moissons de blé qui ont lieu aux États-Unis semblent supérieures aux attentes. L'annonce du démarrage des
récoltes en Ukraine et dans le sud de la Russie, d'ici à une dizaine de jours, rajoute également de
la pression sur les prix du blé.
En maïs, l'amélioration des conditions climatiques sur la Corn Belt favorise la finalisation des semis, ce qui pèse sur les prix français. Néanmoins, ces derniers ont tendance à mieux se tenir (par rapport à ceux du blé), du fait de la qualité décevante des semis français.
D'après FranceAgriMer, la proportion de maïs jugée dans un état bon à excellent a reculé de 2 % en semaine 24 (à 60 %, contre 62 %, la semaine précédente). En colza, les cours ont également reculé, vendredi, sous l'effet de la baisse des prix du soja US et du canola canadien et de la hausse de la parité euro/dollar.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?