 L'annonce du démarrage des récoltes en Ukraine et dans le sud de la Russie, d'ici à une dizaine de jours, rajoute également de la pression sur les prix du blé. (© Terre-net Média) |
Les
premières moissons de blé qui ont lieu aux États-Unis semblent supérieures aux attentes. L'annonce du démarrage des
récoltes en Ukraine et dans le sud de la Russie, d'ici à une dizaine de jours, rajoute également de
la pression sur les prix du blé.
En maïs, l'amélioration des conditions climatiques sur la Corn Belt favorise la finalisation des semis, ce qui pèse sur les prix français. Néanmoins, ces derniers ont tendance à mieux se tenir (par rapport à ceux du blé), du fait de la qualité décevante des semis français.
D'après FranceAgriMer, la proportion de maïs jugée dans un état bon à excellent a reculé de 2 % en semaine 24 (à 60 %, contre 62 %, la semaine précédente). En colza, les cours ont également reculé, vendredi, sous l'effet de la baisse des prix du soja US et du canola canadien et de la hausse de la parité euro/dollar.
« J’ai opté pour un système très simple car c’est rentable »
270 000 vaches dans le désert algérien, est-ce vraiment possible ? Un agronome décrypte
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
La prochaine génération de tracteurs New Holland T5S débarque au Sommet de l'élevage
« J’ai gagné presque un mois d’IVV grâce aux colliers de détection de chaleur »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
Comment préparer une vache à la césarienne
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
T. Bussy (FNSafer) : « Beaucoup de monde pense que la Safer, c’est opaque »