Les industriels laitiers réagissent après les différentes manifestations de producteurs, dans une lettre ouverte où ils dénoncent les attaques récurrentes dont ils s'estiment victimes. « Tout le monde sait à quel point la crise sans précédent que traverse le secteur laitier touche de plein fouet les producteurs. Toutefois, dans ce contexte le prix du lait en France demeure supérieur de 20 % à celui des autres pays concurrents. Les entreprises, dans le cadre de leurs relations contractuelles avec leurs producteurs, trouvent les voies et moyens pour limiter les effets de ce marasme économique. »
La FNIL estime alors qu'il est « irresponsable de lancer des campagnes de dénigrement (...), de porter l'opprobre sur les produits de grande consommation (...), de mener des actions illégales et contreproductives à l'encontre des sites industriels qui peuvent avoir des conséquences lourdes pour les salariés ». Ajoutant qu'elle « déplore et condamne les tentatives d’intimidation de toutes sortes, proférées à l’encontre d’entreprises laitières par des individus se revendiquant d’un syndicalisme qui devrait prendre clairement ses distances avec ces méthodes d’un autre temps ».
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Quelle évolution du prix des terres en Bretagne en 2024 ?
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026