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Deux éleveurs de la coopérative Gènes diffusion témoignent sur la génétique de leurs troupeaux. L'un élève des Charolaises et l'autre des Blondes d'Aquitaine mais leur schéma de sélection suit un même objectif : faciliter les naissances.
Cliquez sur la vidéo pour lancer le témoignage des deux éleveurs
« Le choix de l'orientation d'élevage est souvent la résultante de plusieurs facteurs tels que les conditions de travail, la zone géographique, le rendement, la place disponible dans les bâtiments et bien d'autres encore », affirme la coopérative Gènes diffusion. Ainsi, la génétique doit répondre aux exigences des éleveurs. Olivier Chemin de l'Earl Chemin (59) et Louis-Marie François de la Scea d'Arry (80) témoignent. Ils ont un objectif de sélection commun : la facilité de naissance.
Olivier Chemin, éleveur de Charolaises explique : « Mon but est d'avoir un maximum de revenus au niveau de l'atelier viande mais aussi un maximum de veaux sevrés par vache présente, et enfin de maintenir mon IVV pour avoir une période de vêlages groupés. » 90 % des vêlages ont lieu d'octobre à décembre. Il utilise alors des taureaux différents sur génisses, primipares et vaches pour faciliter les naissances et fait attention à l'aptitude au vêlage pour avoir des vaches avec de bons bassins.
Louis-Marie François, qui élève de Blondes d'Aquitaine dans le Nord, travaille dans le même sens : « 80 % des vêlages s'effectuent de septembre à octobre. On a choisi cette période de vêlages pour essayer de sevrer un maximum de veaux avant la sortie des mères en pâture. » Pour atteindre ses objectifs, l'élevage travaille depuis près de huit ans sur la facilité de naissance et l'aptitude au vêlage. Ces critères étant désormais bien en place dans le troupeau, l'éleveur se tourne progressivement vers le développement squelettique et musculaire.
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