
"Evolution", c’est le nom donné à la fusion des trois coopératives d’insémination multi-espèces du Grand ouest : Amélis, Urcéo/Créavia et Génoé.
Cliquez pour voir les interviews de Jean-Pierre Mourocq et Thierry Simon, président et directeur d’Evolution.
Lancée en grande pompe ce jeudi, place des Lices à Rennes, la nouvelle union de coopératives se nomme Evolution, un nom "darwinien" qui résonnera dans les oreilles de la génétique mondiale. Avec 33.000 éleveurs adhérents et 1.050 salariés, la fusion des entreprises de mise en place Amélis, Urcéo et Généo, devient ainsi le premier groupe du secteur en France et le sixième au niveau mondial.
Evolution en chiffres :
|
L’objectif de cette fusion est de « construire, réussir et développer dans le Grand ouest un groupe acteur majeur qui soit référence mondial sur le marché de la génétique et des biotechnologies d’élevage multi-espèces », annonce Vincent Rétif, ancien président de Génoé.
Pour Jacques Coquelin, président d’Amélis, « ce projet s’inscrit avec un territoire, des hommes et une histoire ». En effet, le territoire d’Evolution s’étend désormais sur 16 départements allant du Finistère jusqu’au Loir-et-Cher.
« J’ai la certitude qu’avec ce regroupement nous avons plus de devoirs qu’auparavant », assure Thierry Simon, nommé directeur général d’Evolution. « Ces devoirs, nous les assumerons par une politique de la main tendue, un accompagnement des races et une humilité et une proximité renforcées, y compris dans les territoires où l’élevage est moins dense. »
![]() Le bureau d’Evolution de gauche à droite : Jacques Coquelin (ex-Amélis), président adjoint, Jean-Pierre Mourocq (ex-Créavia), président et Vincent Rétif (ex-Génoé), président adjoint. (© Terre-net Média) |
![]() Ancien président d’Urcéo et Créavia, Jean-Pierre Mourocq prend la présidence du groupe Evolution. (© Terre-net Média) |
![]() Jacques Coquelin et Thierry Simon, directeur d’Evolution. (© Terre-net Média) |
|
|
![]() Evolution compte aujourd’hui 75 administrateurs (© Terre-net Média) |
Evolution : Qu'en pensent les forumeurs de Web-agri ? |
« Ensiler 38 ha de maïs, c’est rentrer l’équivalent de 75 000 € de stock »
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Biométhane ou électrique, les alternatives au GNR à l’épreuve du terrain
Facturation électronique : ce qui va changer pour vous dès 2026