Dur pour les laiteries, à l'instar d'un Danone, qui collectent plus de lait qu'elles n'en ont besoin et sans les outils pour transformer leurs excédents. Certes, le pic de collecte est passé, mais les volumes baissent moins que prévu. Cela ne pouvait pas plus mal tomber alors que la consommation de produits laitiers ne tire pas et que les cours des produits industriels sont toujours en berne. Résultat : des cours du Spot qui replongent. Et les courtiers ne sont pas vraiment optimistes entre l'annonce de la Russie de prolonger son embargo d'un an et des acheteurs chinois toujours le pied sur le frein.
*Lait en excédent échangé entre les entreprises. Source : enquête de L'Eleveur laitier
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
Le marché du lait Spot s’agite avec la rentrée
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?
L’Iddri suggère de briser « l’ambivalence » des chambres d’agriculture en matière de transition agroécologique