Lactalis et Eurial font le même reproche aux EGA : être restés centrés sur la France. Pour eux, le développement passe par l’international. « Nos concurrents se mobilisent sur le grand export », défend Lactalis. « Nous pouvons aller chercher la valeur ajoutée en capitalisant sur notre savoir-faire », argumente Eurial. Face « au plus de qualité » prôné par les EGA, il craint aussi que les moins aisés n’aient pas d’autres choix que d’acheter des produits importés.
Lactalis et Eurial ont la même vision
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