« Il n'y aura jamais de bœuf aux hormones en France, il n'y en aura jamais, il ne faut pas jouer avec les peurs des gens », a indiqué le président qui estime que « s'il y en a aujourd'hui, c'est parce que les contrôles sont mauvais, c'est parce qu'il y en a qui fraudent ». « Il n'y aura aucune réduction de nos standards de qualité, sociaux, environnementaux, ou sanitaires à travers cette négociation », a ajouté le président, en assurant qu'il travaillerait à ce qu'il soit possible de « bien contrôler aux frontières la traçabilité et les normes environnementales et sociales ».
« En décembre, on aurait pu conclure un accord mais comme la France avait mis des lignes rouges, la commission ne l'a pas signé », a rappelé Emmanuel Macron. Le président a tenu à rassurer les agriculteurs français, qui redoutant un afflux de viande bovine en provenance d'Amérique du sud, ont manifesté mercredi à travers le pays.
Plusieurs centaines d'agriculteurs de moins de 35 ans ont été invités jeudi à l'Elysée, à deux jours de l'ouverture du Ssalon de l'agriculture.
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