« Le progrès génétique a été très important en bovin laitier au cours des vingt dernières années, avec par exemple plus de 2,5 écart-type en Prim’Holstein. Mais en réalité, ce sont toutes les espèces et les productions qui ont bénéficié de schémas de sélection efficaces pour augmenter leurs performances » explique Laurent Journaux de l’Institut de l’élevage. « Ainsi la production laitière en brebis laitières et en caprins a progressé de plus de 3 écart type et en bovin allaitant, le progrès génétique sur le potentiel de croissance au sevrage a été de plus d’1,5 écart type sur cette même période. Même en ovins allaitants, races pour lesquelles un considérable effort a été fait à partir des années 2000 pour intégrer l’allèle de résistance à la tremblante, ce qui a ralenti le progrès génétique, la pente est nettement ascendante. »
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