 Le Sniv-Sncp est heureux que les Gms et les fabricants de plats cuisinés s'engagent en faveur de la valorisation des viandes françaises. (© Terre-net Média) |
Les
Entreprises françaises des viandes (Sniv-Sncp) se félicitent de la position du Président de la République en faveur de
l’étiquetage de l’origine de la viande utilisée comme ingrédient dans les préparations et produits à base de viande et les plats cuisinés.
Dans la foulée, des groupes de distribution (Gms) et des grandes marques de plats cuisinés emboitent le pas avec des engagements portant tant sur la viande de bœuf que sur la viande de porc dans les produits à base de viande, frais et surgelés, ainsi que les plats cuisinés.
Pour le Sniv-Sncp, le syndicat des entreprises françaises des viandes, si la France ne peut pas réglementairement obliger les Gms et les fabricants de plats cuisinés à étiqueter "Origine France", il est heureux que ces opérateurs finissent enfin par s’engager en faveur de la valorisation des viandes françaises.
« Quand on voit qu’avant cette crise, l’accord "Inaporc" sur l’indication d’origine des viandes de porc fraîches et utilisées en charcuterie-salaison n’était respecté qu’à 40 %, on se dit que la viande française retrouve un regain d’intérêt ! C’est un signal positif pour l’avenir des filières bovine, ovine et porcine », a déclaré Jean-Paul Bigard, Président des entreprises françaises des viandes (Sniv-Sncp).
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?