La rentabilité prévisible d'une augmentation de quota peut être évaluée grâce au coût de production et au point d'équilibre. Il s'agit de mettre en parallèle les charges induites et les produits supplémentaires.
Les éleveurs qui ont une capacité de production non exploitée (bâtiments et surfaces), ne peuvent en profiter qu'en augmentant leur droit à produire. L'achat ou la location de surfaces le permettent, tout comme l'acquisition de quota sans terre dans de nombreux départements. Avant de se lancer, il faut évaluer la rentabilité. La connaissance du coût de production et du point d'équilibre est cruciale pour calculer l'impact de l'agrandissement. On en mesure ainsi l'intérêt en fonction du prix du lait espéré.
En général, la dilution des charges de structures sur un volume plus important est bénéfique. Les éleveurs en sous-réalisation, découragés par le niveau du prix du lait, doivent savoir qu'ils pénalisent leur coût de production. En revanche, toute hausse de production nécessitant des investissements impacte les charges de structure. La rentabilité est alors à étudier au cas par cas.
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