Le premier robot de traite Rds Futureline est en fonctionnement depuis juin en Vendée.
![]() Le décrochage comme le branchement se fait trayon par trayon. (© BC - Web-agri) |
Branchement trayon par trayon
Le bras robotisé constitue l’élément différenciant du RDS futureline. « C’est un robot au sens littéral du terme », souligne Jean-Jacques Petit, directeur Christensen France. « Véritable robot industriel, il peut travailler en milieu humide et poussiéreux ». L’ensemble des paramètres est administré via un logiciel (sous windows) à différentes échelles. Troupeau, lot, animal et même quartier. Ainsi, le Rds Futureline réalise un branchement trayon par trayon, ce qui lui permet de traire aussi les vaches à trois mamelles productrices. Pour le lavage comme pour le branchement, le robot repère les trayons grâce à son système de vision doté conjointement d’un laser et d’une caméra.
Une ou deux stalles sur 16 m²
![]() Le branchement est paramétré trayon par trayon (© BC - Web-agri) |
A noter que le Rds Futureline est monté en standard avec le système Imac. Ce système Imac (Intelligent Milk Acceptation Control) sépare automatiquement le lait contenant des grumeaux ou du sang lors de la traite en cours.
![]() Le bras robotisé peut commander deux stalles de traite parallèles situées d’un côté et de l’autre du bras. (© Béatrice Colleu - Web-agri) |
![]() Sac Christensen vise l'installation d'une vingtaine de robots par an sur le territoire français. (© BC - Web-agri) |




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