« Nous prévoyons une hausse du chiffre d'affaires en données comparables dans la fourchette haute de notre objectif de croissance de +4 à +6 % », a souligné le directeur général de Danone Antoine de Saint-Affrique, cité dans ce communiqué.
Le chiffre d'affaires du groupe a ainsi atteint 14,2 milliards d'euros au premier semestre 2023 et son bénéfice net part du groupe a dépassé le milliard d'euros.
Malgré un léger recul des volumes de ventes, la croissance de la multinationale française est toujours tirée par la hausse du prix de ses produits, comme les yaourts Activia, les eaux Evian et Mizone ou encore les pots pour bébé Blédina, avec une augmentation prix de 9,4 % sur le semestre.
Après la prise de contrôle de ses actifs par l'Etat russe, la multinationale française va sortir de ses comptes ses activités « produits laitiers et végétaux » (EDP) en Russie à partir de juillet 2023, entraînant une « dépréciation » de 200 millions d'euros a-t-elle également annoncé.
La décision des autorités russes mi-juillet a eu lieu « sans que Danone ait été informé ou donne son approbation. Bien que Danone ne détienne plus le contrôle de la gestion de ses opérations en Russie, le groupe reste son propriétaire légal », a souligné l'entreprise.
Cette déconsolidation de la filiale russe aura également un impact de 500 millions d'euros lié au cours du rouble, sans conséquence « sur les capitaux propres totaux du groupe ».
GBR Banette établit un nouveau record de production en Holstein avec 184 909 kg de lait
« S'installer en couple en lait : notre projet de vie »
Les 100 Prim’holstein qui ont produit le plus de lait en cumulé en 2025
Réouverture de l’export de bovins vif : « il n’y a pas de raison que les cours s’effondrent »
Marge sur coût alimentaire : 56 000 € d’écart entre la moyenne et les meilleurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Y a-t-il vraiment un plafond de verre pour le prix de la viande bovine ?